Après deux jours d’intenses travaux (23 et 24 Juillet), l’atelier de réflexion sur les contraintes de la presse écrite à l’ère du numérique ont pris fin ce mercredi, 24 juillet 2024 sur une note de satisfaction. Une initiative du Ministère de l’Information et de la Communication en synergie avec le Fonds d’Appui au Développement des Médias (FADEM).
C’est le ministre de l’Information et de la Communication, Fana Soumah, qui a présidé la cérémonie de clôture en présence de plusieurs cadres.
Une rencontre qui s’est tenue dans la salle de réunion du département de tutelle.
A l’entame, la présidente de l’Association Guinéenne des Éditeurs de la Presse Indépendante (AGEPI), Mme. Aminata Camara a noté que l’avènement du numérique ne doit pas être une menace pour la presse écrite, mais plutôt une opportunité en s’adaptant à la réalité du moment. C’est pourquoi, elle a sollicité des decideurs, des financements en faveur de ce médium.
« Le financement de la presse écrite par l’Etat pourrait permettre sa survie (…). Aucun journal ne peut remplacer un autre journal, chaque média joue son rôle ».
En présidant la cérémonie de clôture, le ministre de l’Information et de la Communication, Fana Soumah a mis l’accent sur l’importance que revêt cette formation : « Cette formation est extrêmement importante. Le ministère de l’Information et de la Communication va continuer à œuvrer dans le sens de la formation des hommes de médias de services publics et privés. Nous sommes en train de travailler dans ce sens avec FADEM. Le président de la République, le Général de corps d’Armée, Mamady Doumbouya, nous a instruits dans ce sens pour que les médias soient bien formés et qu’on regarde dans la même direction… » conclut-il.
A rappeler que l’atelier a regroupé 50 journalistes venus de la presse publique et privée.
Sékouba Kourouma
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