Si le président Joe Biden n’a, pour l’instant, promis aucun tête-à-tête, la seconde édition de cette rencontre, lancée en 2014 par Barack Obama, promet déjà de faire l’objet d’intenses
campagnes de lobbying.
Il y aura bien sûr des photos de groupe, des accolades chaleureuses et des messages de félicitations enthousiastes. Mais durant trois jours, du 13 au 15 décembre, il y aura surtout des centaines réunions parallèles, plus au moins discrètes. Car pour les dirigeants africains invités à prendre part au sommet États-Unis –Afrique à Washington, c’est une occasion unique de s’entretenir avec leurs homologues américaines – voire avec le président Joe Biden lui-même –, même si la Maison blanche n’a pas confirmé qu’il y aurait des rencontres en tête-à-tête.
                              Jeuneafrique
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