L’annonce du report de l’élection présidentielle devant mettre fin à la transition a suscité de vives réactions à Bamako. Certains partis politiques dénoncent une volonté de la junte de se maintenir au pouvoir.
Le retour à l’ordre constitutionnel semblait enfin proche au Mali. Les réactions ne se sont donc pas fait attendre après l’annonce, lundi 25 septembre, du report de la présidentielle, initialement prévue en février 2024, et donc d’une énième prolongation de la transition . Ils sont
pourtant guère nombreux à avoir été surpris quand la junte d’Assimi Goïta a annoncé un « léger retard » dans les
dates du scrutin censé marquer le retour des civils à la tête du pays.
JeuneAfrique