Dans l’optique de couvrir la cérémonie de lancement du dialogue social et inclusif en Guinée, à son tour informer les populations à la base, des journalistes se sont heurtés à des restrictions qui ne les ont pas permis d’accéder à la salle ou se tenait la rencontre.
Des instructions qui, selon les gardes du jour ont été laissées par la cellule de communication de la primature. Une attitude que déplore tas de journalistes qui sont souvent victimes de ce genre de traitement pour la quête des informations en leur traitant de tous les noms pourtant considérés comme étant le quatrième pouvoir. Un titre qui n’est qu’une manière de se foudre de leur gueule.
Le CNRD et le gouvernement doivent prendre des mesures nécessaires contre ces faits qui salissent leur image.
