Johanna Barry, est une chanteuse d’origine guinéenne qui est née en Côte d’Ivoire. Elle est une personnalité médiatique, une femme d’affaires et ex présidente du Comité Miss Guinée ’’COMISGUI’’.
Venue en République de Guinée vers les années 90-2000 en provenance d’Abidjan. Johanna Barry, pour ceux qui ne la connaissent pas, est une pionnière du concours Miss Guinée au passé trés brillant.
Elle a des titres comme : On Djarama, Mon Choix, la Paix et Kossa Yambé, ce titre hyponyme est rester une référence en propulsion de la chanteuse au niveau international. À travers ce titre, elle a valorisé les instruments traditionnels d’où le titre honorifique de meilleure voix féminine en 2023.
Voilà la raison d’impact d’union entre le groupe musical et la chanteuse Johanna Barry. Valorisation de l’identité de la musique Guinéenne.
À travers une interview qu’elle nous a accordé, elle nous parle non seulement de ses expériences dans la musique, de ses débuts, de ses projets, mais aussi de son adoption à la musique Guinéenne.
Lisez !
Vous-êtes artiste, quelle est la motivation qui vous a incité à venir dans ce métier ?
Johanna Barry: Issue d’une famille religieuse au respect de la tradition du rituel islamique comme pour vous dire que c’est avec grandes difficultés que je suis arrivée à la musique
Aux pas de suivi de ma sœur ainée Maïmouna Barry qui s’était déjà fait un nom à travers tous les grands studios à Abidjan en qualité de meilleure choriste dans les studios d’enregistrements.
Voilà ma venue dans la musique à travers une protection de feu Cheick Smith Chérif, grand arrangeur en maîtrise de l’instrument (l’orgue-piano).
Quel est votre source d’inspiration ?
Souvent au moment des stresses, la nuit tardive des inspirations me viennent régulièrement avec mon téléphone je procède au premier enregistrement suivi d’une amélioration.
Votre adoption à la musique Guinéenne a-t-elle été facile ?
Oui, en préambule à Abidjan, j’ai eu à sympathisé avec plusieurs vedettes de la chanson Guinéenne vers les années 90-2000. (Rire) sans faire des jaloux je vais citer certains : feux Mory Djely Deen Kouyaté, Kerfala Kanté, Kadé Diawara, Sona Djely et autres.
Parlez-nous de votre début artistique et les difficultés rencontrés ?
All-Hamdoulilaye-Rabil-Allah-Mina, aucune difficulté sous la baguette magique de ma sœur ainée Maïmouna Barry et mon maître et guide spirituelle feu Cheick Smith, d’origine guinéenne adopté en Côte d’Ivoire.
Aujourd’hui, il y a beaucoup d’artistes qui évoluent sur le terrain. N’avez-vous pas peur de la concurrence ?
Non, l’esprit de concurrence pour moi, reste un stimulant pour l’amour du travail. Mon objectif, c’est faire mieux et mettre le Rouge-Jaune-Vert au dessus de tout.
De la musique à la COMISGUI, comment vous-avez pu concilier ces deux activités ?
Esprit saint dans un corps saint, remerciements au créateur et à mon équipe de travail qui en profondeur ont étés de beaucoup pour ma réussite en concordance COMISGUI-MUSIQUE.
Quelle est la différence entre les artistes guinéens et les autres ?
Rire, tous pratiquant la musique pour moi le meilleur, c’est celui qui défend son identité musicale. Voilà la raison pour moi d’être très fidèle avec mon groupe de musiciens.
Peut-on connaître vos projets ?
En pour parler avec Mr. Manfing Camara PDG de Kamara-Word-Music-Event sous le management de Mr Alpha Traoré « James « , consultant culturel. Un grand projet pour une série de concerts à travers le pays de l’Oncle Sam, les États-Unis d’Amérique.
Quel message adressez-vous au public et particulièrement à vos fans ?
De la patience reculer pour mieux sauter, reste la politique de la voix d’or de la musique Guinéenne, johanna Barry. Déjà en gibecière plusieurs titres en duo avec les vedettes de la chanson guinéenne.
Takana Zion Abraham Sonty ’’Koundou Waka » et la dernière collaboration avec le PDG de Ninibou-Production, réalisation en studio du titre Éponyme Hymne pour la bravoure de la femme guinéenne.
Ibrahima Sory Bangoura et
Abdoulaye Banaro