Le bureau exécutif du Syndicat de la Presse Professionnelle de Guinée (SPPG) piloté par son secrétaire général, Sékou Jamal Pendessa était face à la presse mardi, 17 janvier. Objectif, présenter non seulement le bilan annuel de la structure, projeter l’avenir mais aussi et surtout procéder à la validation des demandes d’affiliation de deux associations à SPPG. Ces associations sont entre: l’association des chroniqueurs islamiques de Guinée et celui des techniciens professionnels audiovisuels.
Conférence au cours de laquelle les intervenants ont noté qu’au cours de l’année 2022, le syndicat des professionnels de la presse de Guinée a mené beaucoup d’activités parmi lesquelles: La finalisation du procesus d’installation des antennes réglonales du SPPG ayant permis la mise en place par élection, des bureaux exécutifs régionaux à Kankan, Faranah, N’z6rékoré, Labé et Boké; Règlement à l’amiable de 5 dossiers opposant des employés de médias à leurs employeurs, Pour des raisons de secret professionnel, nous avons jugé nécessares de garder sous anonymat, identité des travalleurs et médias concernés; Reglement à l’amiable, de 4 dossiers opposant des professionnels de l’information à des personnes et service externes à la corporation des journalistes; la défense d’une vingtaine de journalistes alors qu’ils étalent privés de leur liberté ou étalent sur le polnt de l’être; de nombreuses velléités de musellement de la presse stoppees; l’obtention d’un local abritant le bureau du SPPG à la maison de la presse etc.
Parlant des perspectives, les conférenciers ont énuméré: En 2023, le syndicat des professionnels de la presse de Guinée ramène au cæur de ses activités comme priorité des priorités, la poursuite des négociations en vue de la signature de la convention collective des journalistes guinéens; L’obtention d’une part de la subvention allouée aux médias afin de matérialiser l’idée d’une mutuelle destinée à la prise en charge médicale des employés des entreprises de presse; Formaliser un mécanisme efficace de protection des journalistes dans l’exercice de leur métier notamment un fonds d’aide juridictionnelle en faveur des journalistes agressés et ceux faisant l’objet de menaces; la poursuite des démarches pour l’obtention des maisons régionales de presse à Boké, Labé et Faranah; Faire des plaidoyers en faveur des réformes pouvant renforcer davantage la liberté de la presse et l’indépendance des journalistes; le renforcement de capacités des hommes de médias; la prise de contact avec des institutions et département ministériels etc.
Un pas de géant à saluer même s’il reste encore beaucoup faire.
Sékouba Kourouma
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