Ces deux bijoux vont permettre aux élèves à faire non seulement des recherches académiqes, mais également pratiquer les différentes disciplines sportives dans l’enceinte de l’établissement. Une initiative de l’école, réalisée par la maison d’édition l’harmattan-Guinée.

La cérémonie d’ouverture officielle a eu lieu jeudi, 9 décembre en présence des cadres de l’établissement, du maire de la commune de matam, Seydouba Sakho, les partenaires et les élèves.

Le fondateur de l’école, El hadj Mamadou Oury Diallo est revenu sur l’importance de ces bijoux implantés dans son école. Pour lui, la mission de ces espaces sportifs et de lecture est d’apporter des ressources documentaires variées et des sources diverses d’information aux élèves, aux enseignants mais aussi plus largement à tous les acteurs de la communauté scolaire, afin de participer à la mission globale de l’école qui n’est rien d’autre que la promotion de la formation. Aussi, permettre aux élèves de pratiquer les activités sportives au sein de l’établissement en respectant les lois et les principes imposés par la direction.
<< Des dispositions relatives à l’abonnement pour accéder à la salle de lecture et l’inacceptation de tout objet tranchant avant même de rentrer dans la cour de l’élève >> a précisé M. Diallo.
L’occasion pour le directeur communal de l’éducation de matam, Ibrahima II Barry de saluer et encourager les initiateurs du projet. Un projet qui consiste à dôter des écoles des salles de bibliothèque et terrains de qui ouvrent la voie à la recherche académique et dans la pratiques des sports.
En présidant la cérémonie, le maire de la commune de matam, M. Seydouba Sackho a noté: <<L’aménagement et l’équipement de l’espace en question  vont sûrement contribuer à la création d’un cadre de formation adaptée aux exigences de l’établissement. Des exigences relatives à la formation des élites qui devront mettre à l’avenir, leur connaissance et expérience à la disposition de notre pays pour son développement et la pratique des sports pour la préservation de leur santé. D’où, un esprit sain dans un corps sain>>. 
C’est dans cette optique qu’il a invité les encadreurs de l’école à l’utilisation judicieuse des bijoux qui, selon lui, est un grand pas vers l’émancipation de l’éducation guinéenne en général et celle de  matam en particulier.
La coupure du cordon inaugural a mis fin à la cérémonie.
                        Sékouba Kourouma
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