La Société des Bauxites de Guinée (SBG), dont l’actionnaire majoritaire est Monaco Resources Group (MRG) /Cycorp Investment (Monaco/Chypre), est une
entreprise minière de droit guinéen qui évolue dans les préfectures de Kindia et Forécariah depuis des années.
Sous pression financière, SBG/MRG doivent démontrer qu’ils vont être capables d’exporter de la bauxite …. Leurs obligations financières de remboursement arrivent à échéance en 2022 et 2023. De plus, MRG et son actionnaire unique, Cycorp Investment (Chypre), déclarent
depuis des années au marché financier vouloir réduire leur participation dans SBG
à 30%. … Et pour ça, ils sont prêts à tout et par tous moyens : risquer la vie de nos communautés, braver les interdictions, faire des annonces fausses et calomnieuses,
entraver le cours de la justice, entraver les projets nécessaires pour une relance économique paisible.
Pascale YOUNES et Axel Valentin FISCHER, représentants de SBG/MRG peuvent encore
faire les bons choix pour lever les verrous qui empêchent le lancement de la production : les messages d’apaisement ont été envoyés et ne semblent pas encore avoir été reçus ou compris…
LE PLAN MACHIAVELIQUE DE PIERRE KODJO MAWULOM AVODE CONTRAIRE AU NOUVEL ELAN GENERE PAR LA REPUBLIQUE DE GUINEE
Comment ces gens-là peuvent-ils penser être arbitres, joueurs et maintenant modérateur au Guinée Investment Forum à Dubai…. Tout ça en même temps? Ces gens-là ne représentent que leurs intérêts
et les intérêts de ceux qui les paient
chèrement, même pour effectuer des
activités illégales …. c’est choquant ce que certains sont prêts à faire, c’est inquiétant et contraire à l’élan généré par la République de Guinée et ses nouvelles équipes.
Ils ont démontré par leurs actions qu’ils sont indignes de confiance et ne sont que des facilitateurs de groupements nébuleux et criminels, comme SBG/MRG depuis la fin
2015. Leur seul moteur est l’argent à leur profit personnel.
Depuis des années, Pierre Kodjo Mawulom AVODE et le cabinet Sylla & Partners conseillent l’Etat Guinéen dans la négociation des conventions et titres miniers, mais aussi MRG et leurs filiales. Ils vont encore plus loin, trop loin cette fois-ci et Pierre Kodjo Mawulom AVODE est personnellement visée par une plainte pénale en cours pour faux, escroquerie, abus de confiance, blanchiment d’argent et association de malfaiteurs…. Mais ils
continuent à être complice des groupes qui volent et pillent la Guinée.
Pierre Kodjo Mawulom AVODE accepte de représenter Pascale YOUNES lors de la création d’une société et de devenir officiellement le seul actionnaire de Garafiri Konta Infrastructure SAU (GKI), une société
écran appartenant à MRG et administrateur de GKI au côté du fameux prétendu directeur général de SBG, Samir IDRISSI- OUAGGAG, lui-même visé par la même
plainte pénale. GKI est également visée par la même plainte pour détournement d’actifs.
Qui peut aujourd’hui encore croire ces vendeurs d’illusion, Pierre Kodjo Mawulom AVODE et ses complices qui ne songent qu’à leurs intérêts dans l’établissement des conventions et contrats miniers en
République de Guinée?
LES ACTIVITES ILLEGALES DE SBG/MRG AU PERIL DE LA VIE DES COMMUNAUTES RIVERAINES
La route communautaire est destinée à la mobilité des habitants qui sont exposés aux accidents mortels dus aux comportements irresponsables des dirigeants de la société SBG/MRG à Kindia.
Plus récemment, il est apparu que la SBG utilise en toute illégalité cette route au mépris des communautés, des règles de santé et sécurité (HSE), bravant les interdictions et décisions ministérielles du
Ministre des Mines et de la Géologie,
Moussa MAGASSOUBA (lettre du 27 janvier 2022 N°0127) et du communiqué du Ministre des Infrastructures et des
Transports, Yaya SOW lu à la
radiotélévision de Guinée (RTG) au journal de 20heures30 le 8 février 2022 qui a prononcé l’interdiction aux sociétés minières, comme SBG, d’utiliser la nationale
(RN1) et les routes communautaires,
vitales pour les populations riveraines. Les révoltes ou rebellions à l’ordre amèneront nécessairement son lot de sanctions par le
Gouvernement qui est animé par la
nécessité d’un élan de développement sociaux économiques de la Guinée.
La SBG est connue pour ses plans
machiavéliques n’hésitant pas éliminer toutes personne s’opposant à leurs pratiques. On se souvient encore du limogeage arbitraire de Madame Marlyatou BALDET, qui a déposé une plainte devant le
tribunal du travail. Ce limogeage a été organisé et exécuté par Samir IDRISSI-OUAGGAG et Pierre Kodjo Mawulom AVODE.
De plus, la SBG, par la voix de son prétendu directeur général Samir IDRISSI-OUAGGAG et son directeur technique Michel ANDRE,
procède et se vante avec arrogance par
voie de presse de procéder à l’exploitation
de la bauxite et de son transport en vue
d’une exportation hors de la Guinée.
Pourtant, devant nos tribunaux, Samir
IDRISSI-OUAGGAG a affirmé ne pas avoir
de pouvoir de décision au sein de SBG. De
plus, Samir IDRISSI-OUAGGAG et Michel
ANDRE ne précisent pas dans leur
communiqué que SBG opère sans aucune
autorisation préalable donnée par
l’administration minière compétente (MMG)
et au mépris des règles de sécurité et de la
Communauté. Ces affronts incroyables de
décembre 2021, janvier et février 2022 sont
d’autant plus déroutants qu’ils sont passés
après des décisions de justice et le rappel
à l’ordre du Ministre des Mines à la SBG de
respecter scrupuleusement les législations
en vigueur et lui ait demandé de cesser ses
activités illégales en République de Guinée.
Cela signifie que la société SBG, ses
sociétés affiliées et leurs prétendus
représentants dont Samir IDRISSI-
OUAGGAG, Michel ANDRE et Pierre Kodjo
Mawulom AVODE continuent d’exercer
leurs activités en toutes illégalités, en
pleine conscience en bravant la décision
du Ministre nommé par le Président de la
Guinée, le Président du CNRD, le Colonel
Mamady DOUMBOUYA.
Pour preuve, la gendarmerie et des
représentants du Ministère des Mines ont
dû intervenir et ont donné l’ordre aux
camions chargés de bauxite de SBG de
faire demi-tour et sont garés au PK 68 de
Bokaria.
Alors, des questions se posent aujourd’hui:
Qui peut bien ordonner les activités et
méthodes illégales de SBG et sociétés
affiliées en Guinée ? Pourquoi les Autorités
Guinéennes laissent faire! ?
QUI CONTROLE SBG ?
Une société chypriote, Cycorp Investment
contrôle SBG via ses filiales Monaco
Resources Group (Monaco), Metalcorp
Group (Luxembourg) qui elle-même était
l’actionnaire de SBG Bauxite and Alumina
N.V (société dissoute le 14 décembre
2020), pourtant, cosignataire et garante de
la convention minière de base de SBG
ratifiée par l’assemblée nationale en date
du 14 Mai 2018.
Peut-être Pascale YOUNES et Axel Valentin
FISCHER pourront expliquer pourquoi ils
affichent Monaco Resources Group
(Monaco) comme étant la maison mère
alors que ce n’est pas le cas ….
SBG a donc 3 actionnaires SBG Bauxite
and Alumina N.V (MRG) (78,5%), Société
Guinéenne d’Investissement et de
Commerce (SOGICO) (18,5%) et de la
Société Guinéenne du Patrimoine Minier
(SOGUIPAMI) (3 %).
MRG EST EN CONFLIT AVEC TOUS EN
GUINEE, EN AFRIQUE…..ET EN EUROPE
La confiance dans SBG/MRG est au plus
bas ….les plaintes civiles et pénales, des
enquêtes par les régulateurs sont
pendantes partout en Afrique et en Europe.
Les causes restent toutes similaires : le
non-paiement des communautés, des
sous-traitants ou des partenaires et même
les banques qui leur avaient fait confiances
; la distorsion du marché pour concurrence
déloyale ; la crédibilité des comptes des
sociétés du groupe est remis en cause ;
tentative d’augmentation frauduleuse de
capital (Mr. (Axel) Valentin FISCHER a été
condamné à de la prison en Allemagne
pour cette même cause) ; les conseils
(auditeurs et avocats/juriste) du groupe
MRG sont visés par des enquêtes
inquiétantes des pouvoirs régulateurs …
POURQUOI LES AUTORITES GUINEENNES
LAISSENT FAIRE… LE PROJET DE SBG :
UN PROJET MINE ET RAFFINERIE
D’ALUMINE
Le projet SBG est un projet mines et
raffinerie d’alumine. La concession minière
couvre une zone de superficie de 502km2
située à Garafiri dans la région de Kindia, à
environ 160 km au nord-est de Conakry sur
le Corridor Sud. Les réserves estimées
(JORC) sont de 300 Mt et il y aurait un
stock actuel de 200 000/300 000 tonnes de
bauxite.
SBG s’était engagé à produire 8 millions de
tonnes de bauxite par an dont 3 millions
pour export et 5 millions pour la
transformation locale (raffinerie d’une
capacité de 1,6 million de tonnes
d’alumine). Mais, à ce jour, il n’y a aucune
exportation et pas de raffinerie d’alumine.
Pourquoi cet état de fait de la part de
MRG? Est-ce un manque d’argent ? La SBG
serait-elle en faillite ?
C’est d’autant plus inquiétant que SBG et
son garant financier, aujourd’hui disparu,
s’engageaient vis-à-vis de l’Etat Guinéen à
une date de première production
commerciale de la raffinerie est fixée avant
le 31 décembre 2022 dans la convention
avec l’Etat Guinéen. Cette date ne sera pas
tenue : nous le savons puisque SBG, par la
voix de son prétendu directeur général
Samir IDRISSI-OUAGGAG a affirmé que les
études de conception n’avaient pas encore
été faites ; un nouveau mensonge puisque
les études avaient été faites par la société
chinoise Chalieco il y a plus de 6 ans.
SBG/MRG, spécialiste en roublardise et
duplicité, avait demandé à Chalieco de
participer au financement de la raffinerie,
ce qui n’a pas eu lieu, comme elle l’a fait à
des sociétés guinéennes.
Ensuite, SBG/MRG a simplement décidé de
ne pas donner suite à la proposition de
Chalieco en trouvant un stratège pour ne
pas payer l’ensemble des payements
réclamés par Chalieco pour l’étude de
faisabilité et propositions.
Sur le terrain, les difficultés structurelles
continuent d’empêcher la bonne conduite
du projet que ça soit au niveau de la
Guinée ou au niveau international. Les
difficultés majeures en Guinée peuvent être
résumées comme suit :
1. Le conflit avec son actionnaire
minoritaire (SOGICO), interface locale
pour tentative d’augmentation
frauduleuse du passif de SBG avec
une comptabilité douteuse et des
prêts de filiales de Monaco
Resources Group;
2. Le conflit avec la société MCI qui a
déposé une plainte au pénal avec
constitution de partie civil avec
saisie pénale pour faux, escroquerie,
abus de biens sociaux, blanchiment,
fraude en association en raison de
détournement d’actifs;
3. Le non-respect des obligations
contenues dans la convention de
base avec l’Etat Guinéen notamment
l’indemnisation des communautés
riveraines qui dénoncent le non-
respect du contenu local, le non-
respect du calendrier, la non-
construction de l’usine, la disparition
du garant financier, l’absence
d’investissement conformément à la
convention.
SBG/MONACO RESOURCES GROUP N’A
PAS INVESTI LES 1,4 MILLIARD DE
DOLLARS PROMIS….N’INDEMNISE PAS
LES COMMUNAITES RIVERAINES , NE
PAIE PAS SES FACTURES MAIS TENTE ET
ESPERE EXPORTER LA BAUXITE SANS
AUTORISATION …… ET SANS PAYER LES
DROITS A LA PRODUCTION ET A
L’EXPORATION ?
L’ensemble des investissements requis
pour le projet de 1,4 milliard de dollars
d’investissement doivent être faits avant le
31 décembre 2022 dont 700 millions de
dollars auraient dû être faits avant le 31
décembre 2021.
Hélas, selon un fin connaisseur du dossier,
on constate les manquements à répétition
et le mépris total pour la Guinée, sa justice,
ses médias, son gouvernement, son
peuple, les opérateurs créateurs de
richesse avec tentative d’exportation de la
richesse nationale au profit de……..C’est la
question à laquelle doit répondre Pascale
YOUNES et Axel Valentin FISCHER : Qui a
les billets de loterie gagnants? …… ce qu’on
sait c’est que ce ne sont pas les Guinéens.
De plus, à la dernière audience au Tribunal
du Commerce de Conakry tenue le 27
Janvier 2022, le Président du Tribunal a
demandé aux deux parties de trouver une
solution à l’amiable d’ici le 10 Février 2022.
Mais le prétendu Directeur Général de SBG,
Samir IDRISSI-OUAGGAG a affirmé n’avoir
aucun pouvoir de décisions et a promis de
se référer aux décisionnaires….Monaco
Resources Group ? Pascale YOUNES ? Axel
Valentin FISCHER ? les actionnaires de
Cycorp Investment ?….. et de revenir avec
une proposition à considérer par SOGICO
avant le 10 Février 2022, la date butoir.
L’avocat du Cabinet Sylla & Partners
représentant la SBG/MRG a demandé un
nouveau report d’une semaine.
L’actionnaire majoritaire de SBG n’a aucun
intérêt à ce que tous ces conflits soient
résolus, ça lui priverait de sa vache laitière
(SBG). S’il n’y a plus de conflit, il serait
contraint de définir un chronogramme et un
plan de développement réaliste et vérifiable
du projet SBG avec toutes les parties
concernées, dont l’Etat. L’actionnaire
majoritaire de SBG cherche des boucs-
émissaires à leur sort et difficultés en
Guinée alors qu’il est seul responsable de
ses actions et sa situation. Bientôt, Il
accusera sans fondement le Gouvernement
ou les autorités Compétentes de la Guinée.
Aujourd’hui, SBG doit faire face à
d’importantes dettes en Guinée et les
créanciers locaux et internationaux
s’impatientent et demandent des réponses
et des solutions ! L’objectif de l’ actionnaire
majoritaire de SBG est de faire sortir de la
bauxite à partir du Port de Konta et tout ça sans autorisation, sans règlement de leurs conflits et sans règlement de leurs dettes
en Guinée!
Pourquoi ces affronts et actes illégaux?
Monaco Resources Group (MRG) et ses filiales se retrouvent.
Source: conakrynews.org