La Guinée, pays côtier de l’Afrique de l’Ouest, fait face à de nombreux défis environnementaux. Consciente de l’urgence de protéger ses écosystèmes en déclin, elle doit s’engager dans un processus de refondation en profondeur.
Le constat est unanime : la nature est en dégradation. L’avancée de la désertification, la destruction du couvert
végétal par l’agriculture itinérante, la coupe abusive du bois, les feux de brousse et le tarissement des cours d’eau menacent gravement la biodiversité.
Face à cette situation alarmante, les autorités guinéennes doivent prendre
des mesures fortes, notamment en réhabilitant les zones écologiques dégradées. Il est impératif d’aménager
certains quartiers et de restaurer les superficies touchées, dans le cadre
d’actions ambitieuses en faveur du développement durable.
Dans un contexte mondial marqué par les effets du changement climatique, la
Guinée subit elle aussi les conséquences du réchauffement de la planète. Sous l’impulsion du Général d’Armée Mamadi Doumbouya, Président du CNRD et chef de l’État, le gouvernement s’investit activement dans la protection des écosystèmes. Il s’appuie notamment sur les savoirs ancestraux, représentés par les chercheurs traditionnels, véritables gardiens de la nature.
La dégradation de l’environnement soulève également des enjeux de
sécurité. Il est donc crucial de mobiliser des ressources techniques et financières conséquentes pour soutenir les projets et programmes de sauvegarde de l’environnement. Cela implique le respect et la préservation des cours d’eau, de la faune et de la flore du pays.
Alioune Diallo