Montée des eaux océaniques, épisodes caniculaires, pénuries d’eau, diminution des rendements agricoles ou même recrudescence de maladies… les effets
désastreux de la hausse des
températures d’origine humaine sont généralisés et pour certains
irréversibles.
Ils sont déjà plus intenses, plus fréquents et arrivent plus
rapidement qu’estimé en 2014,à
l’occasion du précédent rapport du
Giec. Et ils pourraient s’aggraver encore sans réaction urgente. Tel est le terrible constat détaillé dans la deuxième partie du sixième rapport du Giec sur le clima t publiée fin février. Cette deuxième partie est consacrée aux conséquences du réchauffement climatique sur les sociétés humaines et les écosystèmes. Pour les quelque 200 experts qui ont participé à sa rédaction, l’humanité n’a plus le temps d’attendre pour réagir.
                     La rédaction